Dans les courbes, le plateau est clairement délimité. ensuite “Quatre semaines de forte baisse de l’épidémie” Dans Covit-19, le nombre de nouveaux polluants en France a diminué depuis fin novembre. Plus de 13 400 nouveaux cas positifs ont été signalés en 24 heures, selon les chiffres officiels publiés par le Service de santé publique de France (SPF) ce vendredi 11 décembre. Avertissements de l’Institut de la santé a “Risque élevé” Pour reprendre le cycle du virus. Trois jours avant son emprisonnement le mardi 15 décembre, le pays est encore loin des 5 000 objectifs par jour pour lesquels le gouvernement s’est fixé un objectif.
Comment expliquer cette récession? Trois manières sont mentionnées.
Parce que la température a chuté
C’est le premier argument avancé par les responsables et les épidémiologistes. “L’hiver est un bon moment pour que les virus se propagent avec des infections respiratoires”, A rappelé le directeur général de la santé Jerome Solomon lors d’une conférence de presse le lundi 7 décembre. La récession de la chute de l’épidémie coïncide avec la chute de la température vers le 20 novembre. Un événement déjà remarqué fin septembre. Il y avait “Quatre jours de froid du 24 au 27 septembre”, Rappelé en France le 5 octobre par Arnold Fontanet, épidémiologiste et membre du Conseil scientifique de l’Institut Pasteur. Une semaine plus tard, “Le nombre de cas a très fortement augmenté.”
Créateur du site Météo Govt, Guillo Saint-Quentin a posté sur Twitter une carte montrant la relation entre la météo et l’augmentation du nombre de cas pendant cette période.
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Que diriez-vous du temps et de la crique?Voici un graphique comparant la température moyenne et la moyenne des nouveaux événements Govt détectés.
Septembre On voit clairement la forte baisse de température et son accélération consécutive.
Récent Cela semble moins ces derniers jours pic.twitter.com/GEOj13Nrgp– Guillaume Saint-Quentin – Météo Govt (ar Starjoin) 7 décembre 2020
En compagnie du ministre de la Santé, Oliver Warren, lors d’une conférence de presse le jeudi 19 novembre: “Lorsque le froid a commencé en octobre, nous avons vu une épidémie rapide.”
“Ce n’est qu’en synchronisant les rechutes épidémiques dans différents pays avec des politiques de gestion des risques différentes lorsque le thermomètre baisse ou monte qu’il y a de bonnes raisons de croire que les facteurs climatiques agissent sur les épidémies.”, Soutient l’AFP avec Daniel Levy-Proul, responsable de la division vaccination du SPF pour les infections respiratoires.
cependant, “On ne sait pas très bien distinguer l’effet direct du virus sur la météo, son virus, la persistance dans les voies respiratoires, et l’effet indirect du froid et du mauvais temps sur le comportement en général. L’homme.”, Surtout la faible ventilation des pièces, souligne l’expert. Jonathan Rooks, épidémiologiste à l’École d’études en santé publique de Rennes (Ille-et-Villain), cite des facteurs liés au froid plutôt que des rhumes: “Premièrement avec le froid, nos défenses immunitaires sont faibles. Deuxièmement, quand il fait froid, les gens sont plus susceptibles d’être à l’intérieur et ont moins de ventilation.”, Il compile Ouest de la France.
Parce que l’abolition de l’emprisonnement est en faveur du voyage
Selon les épidémiologistes du SPF, la soi-disant réouverture des entreprises dites non essentielles le 28 novembre est prévue très prochainement. L’assouplissement des restrictions a envoyé un signal encourageant la reprise des voyages et des interactions sociales. Lorsqu’il a énuméré les facteurs qui pourraient expliquer la stagnation du nombre de contaminants, Oliver Warren a cité “Cette abolition de la prison”, Cela a prolongé la période de sortie circonférentielle et autorisée à trois heures, contre une heure dans un rayon de 20 km, contre une heure dans un rayon d’un kilomètre.
De ce point de vue, le nombre de voyages a commencé à augmenter avant même le 28 novembre. Guillock Rogier, l’ingénieur informatique qui a créé le site Covitracker, a fait ce constat pour Francinefo. “Selon les données de Google sur le mouvement des Français, on constate qu’à partir du 15 novembre 16, les Français ont commencé à déménager plus loin. Ils ont été confinés chez eux.”
Parce que les comportements sont devenus sobres
Lors de la dernière conférence de presse du gouvernement, le jeudi 10 décembre, le ministre de la Santé a également mentionné “Détente collective, sans aucun doute” En tant que facteurs de reprise de l’infection. Selon Gilles Biolax, chef de l’épidémiologie à l’hôpital parisien de Denon, c’est aussi le principal coupable: “On parle d’emprisonnement, mais qu’en est-il de la prison? Il suffit de marcher dans les rues de Paris pour voir que la plupart des gens ne la respectent pas.”, Il se lamente Parisien. Un commentaire partagé par Jean-Paul Artis, président de la Fédération des associations médicales françaises: “La situation des vacances est gagnée. Il est vrai que les Français ont besoin de respirer un peu aujourd’hui. Ils se détendent.”, Il observe très anxieusement en François.
Selon Eric Coms, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, la stagnation du nombre de cas ne s’explique pas par la seule relaxation. Selon le médecin, l’entretien France Inter Mardi 8 décembre, elle s’explique aussi “Puisqu’il y a toujours de la pollution dans les écoles, elle se propage aux familles”.
Vont-ils ralentir ce cycle du virus pendant les vacances scolaires? Comme on l’a vu après Thanksgiving au Canada et aux États-Unis, les responsables de la santé craignent que les foules rassemblées à Noël ne causent de la pollution. C’est pourquoi le Dr Jean-Paul Artis décide de recommander six personnes à table pendant les vacances “culture générale. (…) Vous devez comprendre que le virus se propage constamment. Si on ne fait pas attention, surtout en hiver, elle sera en circulation très facilement et on va avoir la troisième vague, ce qui sera très difficile. “