Le groupe sœur, spécialisé dans l’ingénierie aéronautique, a déclaré dans un communiqué qu’il prévoyait de supprimer moins de 900 emplois, principalement à Oxidani. Le groupe, qui a été touché par la crise, a déclaré que “la reprise ne fonctionne pas dans l’industrie aéronautique (…)”.
Akka, une équipe d’ingénierie française affaiblie par la crise économique provoquée par l’épidémie, prévoit de supprimer 900 emplois, “principalement dans la région d’Oxidani”, a indiqué la société dans un communiqué lundi. Le groupe, qui fait face à «un secteur aéronautique qui ne se redresse pas», a lancé une consultation d’information des organisations représentatives du personnel en France, qui «débouchera sur la mise en œuvre du plan de restructuration».
L’équipe d’ingénierie a également souligné qu’elle avait introduit un programme de formation en septembre pour «sauver le plus d’emplois possible». À ce jour, 450 personnes ont été formées en France pour que de nombreux emplois puissent être maintenus.
Un projet communautaire lancé en Allemagne
Au premier semestre de cette année, Akka a enregistré une perte nette de .4 57,4 millions, avec un chiffre d’affaires en baisse de 20,3% sur la période, en raison de l’impact de la crise sanitaire dans les secteurs de la santé. Aéronautique et Automobile, ses deux principaux clients. Au troisième trimestre, les ventes ont continué de baisser, avec une baisse de 20,4% (-28,9% en organique).
Le groupe s’attend à une marge opérationnelle «supérieure ou égale à» zéro tout au long de l’année, et a déjà lancé un programme communautaire en Allemagne cet été avec 800 suppressions d’emplois.